Prédication : 1 corinthiens 7.17-24 : La place de notre travail dans le plan de Dieu (F. Sépari)
Eglise de
Lyon (Diapo noire) le
14 janvier 2017
J’aimerais
vous parler de l’impact de notre foi chrétienne sur notre activité
professionnelle sur notre travail de manière général que celui soit rémunéré ou
pas. L’appel de Christ à le suivre, notre vocation chrétienne devrait-elle nous
conduire à changer de métier, ou même à entrer dans un ministère à « plein
temps » pour l’Eglise ? J’ai prévu de lire un passage tiré de
l’épitre aux Corinthiens pour conduire notre méditation, mais avant de lire
ensemble ce texte, j’aimerais vous raconter d’abord une courte histoire.
Pierre (nom d’emprunt) avait 25 ans,
il avait étudié le droit, passer son certificat d’aptitude pour devenir avocat.
Il travaillait dans un gros cabinet dédié aux entreprises et gagnait fort bien sa
vie. Il était marié à une superbe jeune femme et ils élevaient ensemble leur
premier enfant. Tout semblait leur sourire. Et puis, sans que son entourage ne
sache vraiment pourquoi, Pierre est tombé dans une profonde dépression. Il
n’était pourtant pas naturellement dépressif et c’était un peu jeune pour la
crise de la quarantaine mais des questions revenaient sans cesse dans son
esprit : Est-ce là toute ce que je dois attendre de la vie ? A part
gagner de l’argent, y a-t-il un sens, un but à tout ce travail que j’accomplis
près de 50 heures par semaine ? Pierre était un chrétien engagé, aimant
Dieu sincèrement. Dans le passé, il avait même envisagé d’être pasteur,
missionnaire, ou bien directeur de la louange dans l’Eglise, mais cela ne
correspondait pas à ses dons, il avait dû renoncer à cette orientation! Et
maintenant, il accomplissait un job plutôt bien payé mais sans véritable portée
spirituelle, sans cette dimension d’espérance qu’il avait souhaité, sans ce
sentiment d’utilité auquel il aspirait. Il était juste un rouage dans une belle
machine bien huilée, et cela ne satisfaisait pas son cœur. En fait, Pierre
souffrait de rupture qui lui était imposée entre sa vie professionnelle, et sa
vie de foi, et il n’avait aucune idée sur la manière de les harmoniser ensemble !
La tension entre sa soif spirituelle et l’énergie énorme que lui prenaient ses
activités professionnelles séculières était la source de sa dépression. Il
vivait mal cette schizophrénie des valeurs qui lui était imposée.
Sans aller
jusqu’à la dépression, beaucoup de chrétiens vivent des dilemmes comparables à
celui de Pierre. Un conflit de valeurs similaire se retrouve dans bon nombre de
professions, car au nom de laïcité, notre société française a choisi d’ériger
un mur entre le religieux et le séculier, reléguant la foi et les Eglises dans
la sphère privée. Et comme on a parfois l’impression que certaines activités,
certaines professions sont plus spirituelles que d’autres, on pourrait être
tenté de penser qu’il nous faut changer d’activité pour plaire à Dieu. Mais en
réalité, que dit vraiment la Bible sur cette question ? Faut-il que nous
devenions tous missionnaire, pasteur, ou directeur d’une œuvre chrétienne pour
plaire au Seigneur ?
Je vous
invite à lire la première épître aux Corinthiens 7.17-24. Evidemment l’apôtre
Paul ne fait pas allusion aux problèmes éthiques propres aux avocats d’affaire,
mais il parle d’autres sujets liés à la situation religieuse et sociale de son
époque, mais il y a, malgré tout, des rapprochements à faire !
Lecture 1 Corinthiens 7.17-24 (Diapo texte) (Diapo texte) (Diapo Noire)
A) Evidemment, il y a peu de gens parmi nous, qui sont
circoncis, ou esclave, et les propos de l’apôtre Paul dans ce texte pourraient
paraître dépassés, décalés de nos préoccupations. Mais il faut savoir que la
circoncision et l’esclavage étaient les grandes distinctions entre les
hommes à l’époque du Nouveau Testament : l’une sur le plan religieux et
l’autre sur le plan social ! Certains jeunes chrétiens touchés par la grâce
offerte en Jésus, poussé par l’Esprit se demandait sincèrement ce qu’il devait
faire pour rendre leur vie conforme à la
volonté de Dieu. Et plusieurs jugeaient souhaitables de changer de camp sur le
plan religieux en adoptant la circoncision, qui était un signe visible dans la
chair de leur alliance avec Dieu, de leur consécration nouvelle au Seigneur. D’autres
se demandaient très sincèrement s’il leur était encore possible d’obéir à leur
maitre de chair, souvent injuste et impie, alors qu’ils avaient été rachetés
par un autre maitre bon et bienveillant en la personne Jésus-Christ.
Et que leur répond
Paul dans ce passage biblique ? Il leur explique que ce n’est pas
forcément en changeant de statut sur le plan religieux, ou même sur le plan
social qu’on obéit le mieux à la volonté de Dieu pour notre vie. Le plus
important nous dit l’apôtre au v19 : (Diapo 18b-21) c’est de respecter les commandements de
Dieu… là où il nous a placés. Et si je reprends les deux plus grands
commandements, le plus important est donc de manifester notre amour pour Dieu dans
tout ce que nous faisons, et d’aimer les hommes là où nous nous trouvons. Le
plus important c’est de rendre gloire à Dieu en toute chose, en
particulier dans l’activité qui est la nôtre ! Le plus important, c’est de
manifester le fruit de l’esprit : la joie, la paix, la patience la
bienveillance, la fidélité, la douceur … là où nous nous trouvons, dans
l’activité grande ou petite qui nous a été confiée.
Je suppose
qu’il y a quand même des métiers qu’il convient d’abandonner quand on se
convertit. Difficile d’être une stripteaseuse chrétienne ou bien à un parrain
de mafia chrétien, mais un changement de métier n’est pas forcément nécessaire
le plus souvent.
Bien sûr, Paul
n’est pas hostile à une évolution sur le plan social, puisqu’il écrit à propos
des esclaves au v21 : (Diapo 18b-21) « si tu peux devenir libre, profites-en
plutôt ! », mais sa pensée directrice est qu’il ne faut pas
s’inquiéter de ce type de choses puisque juste avant il nous explique : (Diapo 18b-21) Es-tu
esclave quand tu as été appelé, quand tu t’es converti ? Ne t’en inquiète
pas ! Ce n’est là le plus important ! En d’autres mots, ce qui
compte c’est ta façon de vivre ta vie chrétienne dans les lieux et les
circonstances où le Seigneur t’a conduit ! Paul détourne les chrétiens de
Corinthe des choses visibles et extérieures, même si elles sont souhaitables
parfois, pour conduire leur regard vers les choses invisibles et intérieures.
-
(Diapo 18b-21) Que chacun reste (ou continue de
rester), dans la condition qui est la sienne lorsqu’il a été appelé, dit l’apôtre au v20
-
(Diapo v17) Que chacun vive selon la part que le
Seigneur lui attribuée, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu, dit-il aussi au v17.
Alors bien
entendu, il faut connaitre ses dons personnels, ses aptitudes, et trouver une
activité en rapport avec elles, mais le plus important sur le plan spirituel ce
n’est pas la nature de l’activité elle-même, mais de savoir si on la vit avec
l’aide de Dieu ou bien sans elle, de savoir si on adopte l’attitude de cœur
désirée par Christ, ou pas ! (Diapo noire)
Si je
reviens à mon histoire du début de message, et donc au dilemme de Pierre, ce
jeune avocat d’affaire, l’apôtre Paul lui aurait peut-être écrit un
courrier de ce genre :
« Mon cher Pierre, le plus important pour toi
n’est pas que tu deviennes missionnaire plutôt qu’avocat, le plus important est
que tu vives ton activité professionnelle avec l’attitude de cœur d’un
chrétien, avec les valeurs d’un chrétien, avec la loyauté d’un chrétien ou parfois
avec la résistance constructive que Jésus aurait manifestée à ta place dans les
circonstances qui sont les tiennes. C’est cela l’enjeu, c’est là le combat de
chaque jour auquel Dieu nous appelle ! »
Je ne voudrais pas donner l’impression de décourager un appel à un ministère à plein
temps comme l’on dit parfois. Loin de moi cette pensée ! Si vous avez
sentez un appel pour un service à plein temps dans l’Eglise, avancez sur le
chemin que Dieu ouvre devant vous, prenez du temps dans la prière, et il vous
guidera, vous accompagnera … Mais je veux juste faire comprendre à la lumière
de ce texte de la 1er aux corinthiens que ce n’est évidemment pas la
seule façon de servir Dieu et que nous avons tous un appel d’un manière
ou d’une autre !
B) Ce passage biblique pourrait nous conduire à
considérer notre travail , comme une activité secondaire, comme un mal
nécessaire, tout juste utile à mettre un peu de nourriture dans notre assiette
et à nous permettre d’avoir un toit au-dessus de notre tête. Et je voudrais
corriger cette impression en m’éloignant de mon texte de départ, et en vous
parlant quelques instants de ce que certains théologiens nomme le mandat créationnel
ou culturel (je n’ai pas dit cultuel, mais culturel). (Diapo le mandat culturel et de rédemption)
Notre
principal mandat en tant que chrétien, celui que Christ à laisser aux apôtres,
et à l’Eglise toute entière au moment de son ascension, c’est la parole qui termine
l’Evangile de Matthieu (Matt 28.19) (Diapo mandat rédemption) Allez,
faites de toutes les nations des disciples, baptisez les au nom du Père, du
Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à mettre en pratique tout ce que je
vous ai prescrit.
C’est notre
ordre de mission pour la rédemption du monde, pour son salut, et sa réconciliation
avec Dieu le Père. Ce mandat est prioritaire pour nous comme Eglise, mais ce
n’est pas le seul et unique mandat que nous ayons de Dieu. Il y en a un autre
qui ne concerne pas seulement les chrétiens, mais l’humanité entière cette
fois-ci, et qui se trouve dans le premier chapitre de la Genèse peu après la
création de l’homme et de la femme :
(Diapo mandat culturel) Gen 1. 28 : Dieu les bénit et
leur dit : reproduisez-vous, devenez nombreux (ou grand), remplissez la
terre, et soumettez-là. Dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du
ciel, et sur tout animal qui se déplace sur terre …
Les premiers
verbes : Reproduisez-vous et
devenez nombreux (ou grand et
prospère) est sans doute plus qu’une invitation à avoir des enfants… au cas
où cela aurait échappé à Adam et Eve. C’est une invitation à développer la
vie sociale. On peut y voir un accomplissement aujourd’hui dans le développement
de la famille, des églises, des écoles, des villes, des gouvernements et des
lois de toutes sortes …
Les verbes qui suivent :
Soumettez la terre et dominez sur les animaux… est une sorte de mandat
invitant à dominer le monde physique et biologique avec sagesse. On peut y voir
de nos jours son accomplissement dans la construction de fermes, de ponts, de
voitures, d’usines, dans la fabrication d’ordinateurs, dans l’étude de la
nature, dans la rédaction de livres, dans la composition de nouvelle musique,
et même dans l’invention de nouveaux gadgets.
Accomplir ce
mandat culturel accordé à toute l’humanité c’est juste mettre en mouvement
notre potentiel d’être créé en image de Dieu, et c’est même une
invitation à la créativité.
Quel effet a
eu la chute sur ce premier mandat culturel ? Elle ne l’a pas supprimé,
mais juste rendu plus difficile. Les grossesses sont devenues plus
douloureuses, les relations humaines plus difficiles, moins épanouissantes. Le
travail qui était au début une action créative joyeuse, permettant l’expression
de nos dons et nos capacités, n’est devenu possible qu’au prix d’un effort, parfois
même une souffrance nécessitant persévérance et patience.
Que se
passera-t-il donc lorsque Christ reviendra et rétablira toute chose sur la
terre ? le mandat de rédemption qui crucial en ce moment touchera à sa fin,
mais pas forcément le mandat culturel. Peut-être Dieu nous demandera de
reprendre le mandat culturel, là où nous l’humanité l’aura laissé ? Nous
avons trop peu d’informations dans les Ecritures pour être très affirmatif.
Mais je remarque simplement que l’histoire du monde commence
dans un jardin et se termine avec une ville, la fameuse Jérusalem
céleste … (Diapo flèches) comme si l’histoire humaine qui a inventé la
ville était intégrée et purifiée à l’œuvre de rédemption accomplit par
Jésus-Christ. Je remarque aussi que,
dans la parabole des mines, Jésus parle de villes à gouverner comme des récompenses
pour ses serviteurs fidèles (même c’est si
c’est symbolique, cela demeure très actif). Je note enfin que
l’apôtre Paul explique que la création soumise à la vanité sera elle-même un
jour affranchie, libérée, participante à la gloire des enfants de Dieu, ce qui
laisse entendre un nouveau départ, un nouveau mouvement pour elle. (Diapo noire)
Nous ne
serons donc pas comme quelques-uns
l’imaginent dans une inactivité perpétuelle, dans des vacances passives éternelles.
Cela ne ressemblera pas non plus à une vie monastique faite de prières et de
méditations uniquement, même si l’adoration et la reconnaissance jailliront
spontanément de notre cœur. Une nouvelle histoire va s’écrire, sans le péché
cette fois-ci, dont chaque chapitre sera meilleur que le précédent, où chaque
don, chaque talent humain, chaque étincelle de créativité des hommes,
s’exprimera pour la seule et unique gloire de Dieu.
Je ferme
ici ma parenthèse sur le mandat culturel ou créationnel.
Peut-être certains
se demandent, mais quel rapport tout cela a-t-il avec notre travail, ou avec notre
occupation principale, qu’elle soit professionnelle, familiale, ou bénévole ?
Cela
signifie simplement que notre travail ici-bas n’est pas une activité
secondaire que nous accomplissons juste pour nous acheter de quoi manger.
Elle est un appel de rang élevé que Dieu nous adresse et pour lequel nous avons
été créés. Nous servons aussi le Créateur en faisant bon usage des dons et des capacités que Dieu nous a accordées. Ce
qui vrai dans le cadre du service de l’Eglise avec les dons spirituels, est
également vrai dans le cadre de la création avec nos activités
professionnelles.
Cela explique
pourquoi il est moralement difficile pour une personne dans la force de l’âge d’être
au chômage, d’être inactive, ne n’avoir aucune mission à accomplir. Ce n‘est
pas juste une question de ressources, mais l’inactivité lui ôte la possibilité d’exprimer
sa créativité d’être humain qui a été façonné à l’image de Dieu.
Nos
activités humaines actuelles ne sont donc pas de simples brouillons que Dieu va
définitivement jeter dans les poubelles de l’histoire avec tous nos péchés, lorsque Christ
reviendra, mais elles contribuent indirectement à l’histoire même de
l’humanité.
Il y a donc deux
choses à retenir de cette méditation :
1) Notre activité professionnelle ou
notre service bénévole est avant tout une occasion d’être fidèle à Dieu
et une occasion de grandir spirituellement dans les circonstances où nous nous
trouvons, la nature même du travail n’est pas la plus importante.2) Toutefois cette activité ne doit pas être méprisée, car elle est aussi l’expression de notre humanité, de notre être créée en image de Dieu et l’occasion de mettre en œuvre nos capacités et nos dons, et elle contribue à sa manière au mandat culturel et au développement de l’humanité.
Alors voilà,
même si vous n’êtes pas appelé à avoir un ministère à plein temps dans l’Eglise,
vous avez néanmoins un appel, une vocation personnelle liée à la combinaison
unique de dons qui habitent en vous. Connaissez-vous cet appel, cette
vocation ? Prenez le temps d’y
réfléchir, de prier en demandant à Dieu de vous montrer sa volonté … Ce n’est
pas une question qui concerne uniquement que les jeunes de notre Eglise, même
chacun d’entre nous quelle que soit notre âge est concernés, y compris les
jeunes retraités.
(Diapo 1 cor 7.17) 1 cor 7. 17 Que chacun vive selon la
part que le Seigneur lui attribuée, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu …
Certains se
disent peut-être : Ouf, je suis rassurer de pouvoir faire le métier que je
veux et de ne pas être obligé de servir Dieu à plein temps… !
Toutefois
rester fidèle à Dieu au travail dans un monde déchu n’est pas forcément plus
facile que d’exercer un ministère dans l’Eglise. Il faut tout autant de
consécration, et parfois même davantage ! Défendre ce qui est droit et
s’opposer à l’injustice dans le cadre de son travail peut nous valoir de
nombreux ennuis. Cela peut ralentir notre carrière, nous faire perdre l’estime
de nos collèges, et éloigner de nous les promotions. Par la grâce de Dieu, par
notre fidélité, on peut certes voir quelques changements significatifs dans
notre petite sphère d’influence, mais cela nous demandera quelque fois d’abandonner
nos désirs de succès, de pouvoir, et même de reconnaissance parfois !
Et c’est
bien ce que Paul sous-entend dans son langage un peu paradoxale du v22 du texte
que nous avons lu au début :
(Diapo 1 cor 7.22) v 22 : L’esclave qui a été
appelé par le Seigneur est un affranchi du Seigneur, de même l’homme libre qui
a été appelé est un esclave de Christ. Vous avez été racheté à un grand
prix : ne devenez pas esclaves des hommes !
Il y a une
véritable consécration qui est demandée quelle que soit la forme que prend
notre activité humaine. (Diapo noire)
Quel est
donc votre appel, votre vocation divine pour la vie présente, même si cela
ne prend pas la forme d’un ministère à plein temps ? Dieu a un plan pour vos activités humaines les
plus classiques et même les plus ordinaires, prenez le temps d’y réfléchir, de
prier en demandant à Dieu sa volonté pour chacun d’elle …
Que la
sagesse et l’esprit de Christ nous guide dans le choix de nos occupations !
Amen !
Prière
Questions :
1 1) Qu’est-ce que cela peut changer sur la
manière d’envisager notre profession (et/ou nos activités bénévoles) de savoir que
notre travail n’est pas seulement une « punition divine », mais aussi
un lieu d’expression de notre créativité, de notre nature humaine faite en
image de Dieu.
(La différence entre Dieu et l’homme
est que Dieu peut créer ex nihilo, mais pas nous ! Nous ne pouvons le
faire qu’à partir de la matière première que Dieu nous a donnée)
2 2) Qu’est-ce qui pourrait m’aider à
vivre mon travail actuel avec la bonne attitude de cœur, en invitant Dieu dans
mon activité ? (Partager quelques idées pratiques, quelques habitudes qui
vous semblent utiles …)
3) Quels sont les dons, quelles sont les
activités qui me ressourcent intérieurement ? Comment pourrais-je en tenir
davantage compte dans mes activités professionnelles, mes activités associatives
ou de loisirs, qu’elles soient rémunérées ou bénévoles ?
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