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Affichage des articles du juin, 2017

Prédication du 25 juin 2017 - Matthieu 21 : 12-17 - Jésus fait de la place ! (S. Guiton)

(prédication pour un culte spécial "tous ensemble" incluant enfants, ados et parents) Jésus renverse des tables, avec tout ce qu’il y a dessus ! Etrange ! Qu’est-ce qui lui prend ?  Cet acte de violence de Jésus a toujours dérangé, intrigué. On se dit qu’il perd le contrôle de lui-même, et que ce n’est pas digne d’un Dieu !  Mais en réalité, la colère de Jésus est maitrisée et calculée .  D’abord, e n renversant les tables, Jésus veut faire réfléchir tous ces gens qui fréquentent le Temple, et c’est pourquoi il choisit le moment où il y a le plus de monde dans le Temple. Ensuite, la colère de Jésus ressemble plus à celle d’une lionne qui vient au secours de ses petits, quand un danger les menace, qu’à un énervement sans raison.  En effet, tous ces gens qui sont dans le Temple, ce jour-là, sont menacés par un danger dont ils n’ont même pas conscience : leur coeur est tellement encombré qu’il n’y a presque plus de place pour Dieu ! Ils sont en train… de r

Prédication du 18 Juin 2017 : Exerce-toi à la piété (1 Tim 4.7) (F. Sépari)

Eglise de Lyon            (Diapo noire)                                                            le 16 juin 2017 Aujourd’hui, en réaction aux excès du monde industriel, notre société valorise de plus en plus le vrai, le simple, l’authentique par opposition à tout ce qui serait le fruit d’un effort systématique, d’un objectif planifié, jugé artificiel. De plus, dans une Eglise protestante évangélique comme la nôtre, nous soulignons fréquemment, et à juste titre, l’importance de la foi comme un don de Dieu , du salut comme pardon gratuit , et l’œuvre surnaturelle de l’Esprit Saint comme une grâce sur laquelle nous n’avons aucune prise. Enfin, Le nouveau testament dépeint les rites, les obligations morales que l’on s’impose, le légalisme comme incapables d’effacer nos fautes, de plaire à Dieu et de nous accorder la vie éternelle. Et du coup, nous pourrions presque en conclure qu’il n’y a absolument rien à faire sur un plan humain pour nous approcher de Dieu, rien du tout